La cigarette électronique, voici pourquoi on l’aime pour son côté écologique

La cigarette électronique, voici pourquoi on l’aime pour son côté écologique

Qu’il s’agisse de réussir son sevrage tabagique ou de continuer à consommer de la nicotine, la cigarette électronique est de plus en plus plébiscitée par les Français. De même, ils apprécient que cette cigarette révolutionnaire soit plus écologique. Dans la suite, nous vous expliquons pourquoi.

Pourquoi la cigarette classique est-elle considérée comme un pollueur ?

Tout le monde le sait, la cigarette est une tueuse silencieuse. Mais peu de gens le savent, la cigarette est aussi un pollueur sournois. Selon les dernières estimations en date, près jusqu’à 25.000 tonnes de mégots de cigarette sont jetés dans la nature chaque année en France. Or, un seul mégot de cigarette est capable de polluer 500 litres d’eau la rendant inutilisable. Par ailleurs, il faut au moins 2 ans pour qu’un mégot de cigarette se décompose, ce qui pollue durablement les sols. En revanche, passer au vapotage est une démarche écolo.

Continuer à profiter de la nicotine en réduisant son empreinte carbone

La cigarette électronique est moins nocive pour la santé et représente un véritable atout pour la protection de l’environnement. D’abord, il y a le fait que la cigarette électronique soit réutilisable. Aujourd’hui, il est possible de la fabriquer de A à Z en limitant au maximum l’utilisation de matières premières.

Et comment cela est-il possible ? Tout simplement parce qu’on peut utiliser des matières recyclées pour fabriquer une cigarette électronique. À préciser que cette dernière est recyclable. De plus, il faut savoir que les vapoteurs peuvent fabriquer leur e-liquide eux-mêmes.

À défaut, ils ont toujours la possibilité d’acheter de l’e-liquide certifié bio. Ce dernier est fabriqué en respectant un cahier de charges extrêmement en faveur de la protection de l’environnement. Et pour aller encore plus loin, le vapoteur peut fabriquer ses résistances lui-même plutôt que les acheter. Dans ce dernier cas de figure, il faut les importer à des dizaines de kilomètres de la France pour ensuite les mettre en vente, ce qui augmente la pollution due au transport.

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